En prise avec le monde réel malgré un goût prononcé pour la fantaisie métaphorique, l’auteur-compositeur-interprète de 34 ans a envoyé une onde chaude et rassurante avec Les royaumes minuscules. Un deuxième album que le comité d’artistes du prix Joséphine a considéré comme l’un des dix meilleurs de l’année. (RFI)
Voyou a son goût des fables, cette façon unique qu’il a de concevoir ses morceaux comme autant de petites narrations qui en forment une plus grande à la fin. Ce qui, finalement, donne un terrible goût du jeu : des compositions musicales comme jamais, qui, sans se prendre au sérieux, jouent pourtant sérieusement avec les sens qu’on donne à nos vies.
Textes mélancoliques, harmonies enjouées : le jeune chanteur Voyou compose des paysages musicaux qui nous transportent. Loin de son Nord natal. (Télérama)
Dans un monde de la musique parfaitement ordonné par la suprématie electro-pop et urbaine, Voyou fait figure de trouble. En totale liberté, il ouvre une autre voie qui trace un fil suspendu entre noirceur et humour, bourrasques universelles et réalisme détourné, mélodies avenantes et arrangements à la chaleur langoureuse. De la race des conteurs, une espèce aussi rare que précieuse. "J’aime bien ce rôle. Raconter des histoires à mes amis et aux gens de ma famille, c’est une appétence que j’aie dès mon plus jeune âge". RFI
20.09 · 20:00
Le Théâtre, place Communale, La Louvière
€ 25 · 20 · 10 · Article 27
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