Palestine

Historiquement, la création de l’État israélien moderne au départ des convulsions politiques européennes s’est traduite par une large éviction de la population palestinienne locale de sa terre natale et une dépossession multiforme. Les évolutions de part et d’autre, initialement rythmées par les différentes guerres dites "israélo-arabes", ont créé de nouvelles réalités. Parmi celles-ci, domine le déséquilibre profond dans le rapport des forces entre les Palestiniens dits "de l’intérieur" (Jérusalem-Est, Gaza, Cisjordanie) et l’État israélien qui, en particulier depuis les accords d’Oslo (1993), n’a eu de cesse d’élargir et d’approfondir son occupation et sa colonisation des territoires occupés en 1967 et qui devaient précisément être au cœur de l’échange "paix contre territoires" régissant les accords d’Oslo. 

Partant de cette équation, mais également des connaissances accumulées sur les dynamiques de conflictualité dans d’autres conflits, y compris coloniaux, mais aussi dans ce conflit-ci, cette conférence mettra en exergue les termes d’un éventuel règlement susceptible d’amener vers une paix juste et durable, seule garante à terme de la sécurité à laquelle ont droit chacun des deux peuples, palestinien et israélien.

Elena Aoun est professeure et chercheuse à l’UCLouvain, elle travaille sur les conflits et la conflictualité en particulier au Moyen-Orient, en s’intéressant au rôle des puissances extérieures, notamment occidentales. 

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Organisation de l'Extension ULB sur proposition de Central 

Par Michel Stazsewski.

" Être contre la politique ultra-sioniste du gouvernement Netanyahou, ce n'est pas de l'antisémitisme."

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Photo Véronique Vercheval

Photographies de Véronique Vercheval.

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C’est la rage et le sentiment d’impuissance qui m’ont décidée à partir pour la première fois en Palestine en avril 2002. Mon appareil photographique m’a ouvert les portes des maisons. Nous avons parlé, tentant de nous comprendre malgré la barrière des langues. J’ai traversé un pays lacéré par les implantations israéliennes. Je suis allée dans les villes et dans les camps. J’ai découvert les universités palestiniennes, les théâtres, les cafés, les marchés… et les check-points.

J’ai réuni ces moments de rencontres pour montrer une autre image de la Palestine et des Palestiniens.

Photographies de Véronique Vercheval.

Photographies de Véronique Vercheval.

Une exposition de photographies sur les réalités vécues sur les travailleureuses des carrières de pierre en Palestine.

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Visites de groupes sur demande (064 23 72 90).

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Organisé par l’ASBL CEPRé.

Photographies de Véronique Vercheval.

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Retour sur trois projets de solidarité culturelle internationale avec la Palestine.

Une rencontre littéraire, au cours de laquelle la musique et d’autres formes artistiques s’invitent pour accompagner l’échange avec nos invité·es. Nous évoquerons le journal d’Hossam Al-Madhoun, Je vous écris de Gaza sous les bombes, mais aussi d’autres œuvres de poètes palestiniens.

Des extraits de ce recueil de lettres envoyées depuis Gaza pendant les trois premiers mois de l’attaque israélienne seront lus par les étudiant·es du Conservatoire de La Louvière, guidé·es par Danièle Walgraeve.

Véronique Vercheval exposera quelques photographies prises à Gaza en 2002.

La soirée se terminera par un moment musical et des échanges informels autour d’un verre.

Un projet mené par La Compagnie Maritime, le Réseau louviérois de Lecture publique, le Centre du Théâtre Action et Danièle Walgraeve, comédienne et professeure en arts de la parole au Conservatoire de La Louvière. Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

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Réservation : fabien.robert@lacompagniemaritime.be  ou 064/6770720

Avec Hassan Balawi (Ambassade de Palestine) et Eléonore Merza (Vie Féminine Bruxelles).  

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Organisé par la Commission internationale du MOC Hainaut Centre !

Inscription recommandée via e.dumoulin@ciep-hainautcentre.be

Ce documentaire belge suit trois jeunes Palestiniens vivant dans un village au sud-ouest de Jérusalem. Pour enregistrer leurs rêves et leurs désillusions…

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Bara’a, Ala’ et Ibraheem ont 17 ans, ils terminent leur scolarité et envisagent de partir poursuivre leurs études en Europe. À l’image du train qu’ils ne peuvent pas prendre et qui passe à côté de leur école toutes les 25 minutes, leur avenir butte contre une multitude d’interdits et de rêves impossibles, avec comme seule ligne d’horizon la précarité, l’absence de débouchés, l’impression d’être condamnés à vie à arpenter l’espace confiné de Battir, leur petit territoire natal, les virées en voiture dans les collines pour fumer des joints.

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La projection sera suivie par un échange avec le réalisateur.

Par l'abbé Olivier Fröhlich, vicaire général du diocèse de Tournai.

Photographies de Véronique Vercheval.

Photographies de Véronique Vercheval.